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Tété – A la faveur de l’automne – 2003

    Paroles

    Posté devant la fenêtre
    Je guette
    Les âmes esseulées
    A la faveur de l’automne

    Posté devant la fenêtre
    Je regrette
    De n’y avoir songé
    Maintenant que tu abandonnes

    A la faveur de l’automne
    Revient cette douce mélancolie

    Un, deux, trois, quatre
    Un peu comme on fredonne
    De vieilles mélodies Rivé devant le téléphone
    J’attends
    Que tu daignes m’appeler
    Que tu te décides enfin

    Toi, tes allures de garçonne
    Rompiez un peu la monotonie
    De mes journées de mes nuits

    A la faveur de l’automne
    Revient cette douce mélancolie

    Un, deux, trois, quatre
    Un peu comme on fredonne
    De vieilles mélodies

    A la faveur de l’automne Tu redonnes
    A ma mélancolie
    Ses couleurs de super-scopitone
    A la faveur de l’automne

    Comment ai-je pu
    Seulement être aussi bête ?
    On m’avait prévenu
    Voici la vérité nue

    Manquerait
    Plus que le mauvais temps
    S’y mette,
    Une goutte de pluie et
    J’aurais vraiment tout perdu

    A la faveur de l’automne
    Revient cette douce mélancolie Un, deux, trois, quatre
    Un peu comme on fredonne
    De vieilles mélodies

    A la faveur de l’automne
    Tu redonnes
    A ma mélancolie
    Ses couleurs de super-scopitone
    A la faveur de l’automne …