Paroles
Des enfants qui s’élancent
Une même apparence
Des éclats de soleil
Des rayons d’innocence
Avant la prudence
Avant la malchance
Des enfants pareils
Y a-t-il un sort, un signe
Est-ce un doigt qui désigne
Celle ou celui qui va
Renoncer pas à pas
Comment, qui sont-ils
Ces gens trop fragiles
Qui ne savent pas
Vivre quand tout lâche, quand tout casse, quand tout clash
Quand tous les blues ont sali ta raison, ta maison, tes saisons
Quand tout est sombre, plus rien n’est doux (n’est doux)
J’ai peur de tout (peur de tout)
Si ma vie je l’invente
Légère et insouciante
Je les croise au hasard
Dans les rues dans les bars
Fatigues et dociles
Ailleurs immobiles
Je ressens tout ca (je ressens tout ça), tout ce froid
Cette intime fracture
Cette lézarde au mur
Je la sais, elle est là
Toujours au fond de moi
Et parfois je coule
Comme une pierre qui roule
Qui roule si bas
(Oh qui roule si bas)
Quand tout lâche, quand tout casse, quand tout clash
Quand tous les blues ont sali ta raison, ta maison, tes saisons
Quand tout est sombre, plus rien n’est doux (n’est doux)
Quand j’ai peur de tout (j’ai peur de tout)
Si j’avais pu m’enfermer dans tes bras
M’enfermer, me protéger
Mais où es-tu dans ces moments-là
Qui pourrait m’apaiser (qui pourrait m’apaiser), oh
J’ai peur de tout
Vivre quand tout lâche, quand tout casse, quand tout clash
Quand tous les blues ont sali ta raison, ta maison, tes saisons
Quand tout est sombre, plus rien n’est doux (n’est doux)
(J’ai peur de tout)
J’ai peur de tout, si peur de tout, si peur de
Tous les blues ont sali ta raison, ta maison, tes saisons
Quand tout est sombre (plus rien n’est doux)
Et parfois quand je coule, comme une pierre qui roule
Quand j’ai peur de tout
J’ai peur de tout
J’ai peur de tout