Paroles
Entre le sable et les portes du vent
Juste après l’entrepôt de sédiments
Elle s’en va seule sur des routes de Pierres.
Sans espoir sans poupée sans chimère
Et elle parle aux enfants d’ailleurs
De ces terres tranquilles.
Où la vie à tant de couleur.
Sa vie à elle est si fragile.
La petite Alice regarde la mer.
Elle ne sais plus ne sais pas.
Elle cherche Dieu dans l’univers.
Comme une réponse à ses pourquoi.
La petite Alice regarde la mer.
Elle ne sait plus ne sais pas.
Elle rêve d’un monde de lumière.
Là où la peur n’existe pas.
Entre l’absurde et les intolérances.
Où sont-elles ces raison d’espérer.
Quand le silence pleure au banc des écoles.
Quand les manège on cessé de tourner.
Elle veut vivre et elle crie je veux vivre.
Et changer l’histoire
Rendez-moi mes soirs d’été et
Mes matins de balançoire.
La petite Alice regarde la mer.
Elle ne sais plus ne sais pas.
Elle cherche Dieu dans l’univers.
Comme une réponse à ses pourquoi.
La petite Alice regarde la mer.
Elle ne sait plus ne sais pas.
Elle rêve d’un monde de lumière.
Là où la peur n’existe pas.
Je sais ta solitude et
Je pleure quand tu pleures.
Petite Alice au pays des tourment.
Mais sais-tu que tu as des petites soeurs
à l’autre bout de l’océan.
La petite Alice regarde la mer.
Elle ne sais plus ne sais pas.
Elle cherche Dieu dans l’univers.
Comme une réponse à ses pourquoi.
La petite Alice regarde la mer.
Elle ne sait plus ne sais pas.
Elle rêve d’un monde de lumière.
Là où la peur n’existe pas.
La petite Alice a tout compris.
Le monde entier lui a menti