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Ménélik – Tout baigne – 1995

    Paroles

    Une question se pose
    à moi, à savoir si j’ai le choix
    Suivre le tempo ou pas je ne sais pas mais en tout cas
    J’ai évacué pour la journée toute forme de soucis
    Et j’me la roule debout, disons plutôt assis
    Dans la foule je perçois le rire d’une dame
    Entre les gens je rame pour m’approcher de la femme
    Waah! est-ce que tu as vu, ai-je la berlue?
    Une telle beauté même voilée ne passerait pas inaperçue
    Y a du monde dans la place? ouais
    Cassez la voix, cassez la voix? ouais
    Évidemment sans ces parties la vie n’a pas de sens
    La tribu en formation toujours dans la transe
    Laisse ton corps me parler et continuons l’ambiance
    Honni soit qui mal y pense
    Aujourd’hui personne ne revendique dans le POS de MENELIK
    De la vie à ce jour nous ne ferons aucune critique
    Je glande sur la lleda s’te plait passe moi du Coca
    Non pas d’embrouille non je ne veux pas de coquard
    Juste goûter de ce jus que jalousement tu conserves
    Avec toi je converse afin qu’on se serve
    Mettons donc de côté les dingues qui tiennent les flingues
    Regarde donc ces beautés je t’invite à faire la bringue
    Donc suis moi on ira, on verra, on vaincra
    Je ne sais pas où on va mais qui vivra verra
    Oh non non non j’suis pas une idole
    Sur le damier de Paul tous les gars de Paul m’épaulent
    Ainsi, nous voici partis, tranquille tu l’as dit l’ami
    Accompagnés des bonnes fées que sur la piste on rallie
    O.K. man je reprends et ceci sans faux semblants
    Je saisis au vol la perche que tu me tends
    Un groove que rien n’arrête, des peaux qui se complètent
    Mais la fête ne serait pas parfaite
    Sans quelques demoiselles bien faites
    Ça se passe comme ça mais je n’ consomme pas rapidement
    Je déguste le plat, le jeu en vaut la chandelle
    Stimule mes papilles, les mignonnes m’émoustillent
    À leur vue, je vacille, elle ondule je la sens tous mes sens en éveil
    Tout baigne, dans l’eau, dans l’huile, sous le soleil
    Elles ont toutes de belles plastiques, je m’arme de mon plastic
    Hun! hun! on n’ m’appelle pas pour rien l’homme qui tombe à pic
    Le fête est éphémère mais au fond on s’en fout
    Qu’importe le temps, la nuit est à nous