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Les Négresses Vertes – Voilà l’été – 1988

    Paroles

    Voilà l’été
    Voilà l’été
    Voilà l’été
    Voilà l’été

    Voilà l’été, j’aperçois le soleil
    Les nuages filent et le ciel s’éclaircit
    Et dans ma tête qui bourdonnent
    Les abeilles!
    L’entends rugir les plaisirs de la vie
    C’est le retour des amours
    Qui nous chauffent les oreilles
    Il fait si chaud
    Qu’il nous poussent des envies
    C’est le bonheur rafraîchi d’un
    Cocktail

    Les filles sont belles et les dieux sont ravis

    Enfin l’été
    Enfin l’été
    Enfin l’été
    Enfin l’été

    Enfin l’été
    Mais y’ a déjà plus d’argent
    Le tout paris se transforme en phobie
    Le métro sue tout devient purulent
    Dans ses souliers, le passager abruti
    A dix doigts d’pied qui s’expriment
    Violemment
    Y’a plus d’amis les voisins sont partis
    L’été Paris c’est plutôt relaxant
    On rêve de plage
    Et la Seine est jolie

    Toujours l’été
    C’ est pas du superflu
    Il fait trop chaud, le soleil m’abasourdit
    Rillettes sous les bras
    J’avance dans la rue
    J’pense à ces cons qui s’ font chier
    Dans l’ midi
    Tous ces torches-culs qui vont cuire
    Dans leurs jus
    Tous ces noyés, la mer quelle saloperie
    Et sur les routes les danger ca vous tue
    Vivement l’ automne, je me sens tout aigri

    Toujours l’été
    Toujours l’été
    Toujours l’été
    Toujours l’été

    Voilà l’ été, j’aperçois le soleil
    Les nuages filent et le ciel s’éclaircit
    Et dans ma tête qui bourdonnent
    Les abeilles!
    J’entends rugir les plaisirs de la vie
    C’est le retour des amours
    Qui nous chauffent les oreilles
    Il fait si chaud
    Qu’il nous poussent des envies
    C’ est le bonheur rafraîchi d’un
    Cocktail
    Les filles sont belles et les dieux sont ravis

    Voilà
    Enfin
    Toujours
    Encore