Paroles
L’hémorragie de tes désirs
S’est éclipsée sous l’azur bleu dérisoire
Du temps qui se passe
Contre duquel on ne peut rien
Être ou ne pas être
Telle est la question
Sinusoïdale
De l’anachorète
Hypochondriaque
Mais tu dis (Mais tu dis)
Que le bonheur est irréductible
Et je dis (Et il dit)
Que ton espoir n’est pas si désespéré
À condition d’analyser
Que l’absolu ne doit pas être annihilé
Par l’illusoire précarité de nos amours destituées
Et Vice et Versa (Et Vice et Versa)
Il faut que tu arriveras
À laminer tes rancœur dialectiques
Même si je suis con… vaincu que c’est très difficile
Mais comme moi, dis-toi
Qu’il est tellement plus mieux
D’éradiquer les tentacules de la déréliction
Et tout deviendra clair
Mais tu dis (Mais tu dis)
Que le bonheur est irréductible
Et je dis (Et il dit)
Que ton espoir n’est pas si désespéré
À condition d’analyser
Que l’absolue ne doit pas être annihilé
Par l’illusoire précarité de nos amours destituées
Et vice et versa (Et vice et versa)
D’où venons-nous?
Où allons-nous?
J’ignore de le savoir
Mais ce que je n’ignore pas de le savoir
C’est que le bonheur est à deux doigts de tes pieds
Et que la simplicité réside dans l’alcôve
Bleue et jaune et mauve et insoupçonnée
De nos rêveries
Mauves et bleues et jaunes et pourpres
Et paraboliques
Et Vice et Versa
Mais tu dis (Mais tu dis)
Que le bonheur est irréductible
Et je dis (Et il dit)
Que ton espoir n’est pas si désespéré
À condition d’analyser
Que l’absolu ne doit pas être annihilé
Par l’illusoire précarité de nos amours
Et qu’il ne faut pas cautionner l’irréalité
Sous des aspérités absentes et désenchantées
De nos pensées iconoclastes et désoxydées
Par nos désirs excommuniés de la fatalité destituée
Et Vice et versa (Et vice et versa)
Et vice et versa