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Jean-Jacques Goldman – Confidentiel – 1985

    Paroles

    Je voulais simplement te dire
    Que ton visage et ton sourire
    Resteront près de moi, sur mon chemin

    Te dire que c’était pour de vrai
    Tout c’qu’on s’est dit, tout c’qu’on a fait
    Qu’c’était pas pour de faux, que c’était bien

    Faut surtout jamais regretter
    Même si ça fait mal, c’est gagné
    Tous ces moments, tous ces mêmes matins

    J’vais pas te dire qu’faut pas pleurer
    Y’a vraiment pas d’quoi s’en priver

    Et tout c’qu’on n’a pas loupé, le valait bien

    Peut-être on se retrouvera
    Peut-être que peut-être pas
    Mais sache qu’ici-bas, je suis là

    Ça restera comme une lumière
    Qui m’tiendra chaud dans mes hivers
    Un petit feu de toi qui s’éteint pas