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Dick Rivers – Les yeux d’une femme – 1983


    Paroles J’ai joué Bogart pour Laureen Bacall
    Aux yeux d’une femme
    Désabusé mais sentimental
    Aux yeux d’une femme (Ah Ah)
    Quand elle est entrée dans ma vie ce vendredi
    J’savais pas c’qu’étaient les yeux d’une femme (Tou Lou)

    C’est l’Eldorado couvert de larmes
    Les yeux d’une femme
    Un mélange d’érotisme et de charme
    Les yeux d’une femme (Ah Ah)
    Quand elle me regarde j’ai l’impression d’l’embrasser
    Je n’sais plus parler aux yeux d’une femme

    J’aime tous ces longs silences fragiles
    Qui planent entre nous deux en gris, en bleu (en gris, en bleu)
    J’aime ces instants d’amour cachés
    Plus forts que les aveux des amoureux

    J’abandonne Mozart et Picasso
    Aux yeux d’une femme
    J’te dis tout l’or du monde c’est zéro
    Aux yeux d’une femme (Ah Ah)
    J’n’ai pas besoin d’la voir en film ou en photo
    J’sais trop bien sentir les yeux d’une femme

    J’aime tous ces longs silences fragiles
    Qui planent entre nous deux en gris, en bleu (en gris, en bleu)
    J’aime ces instants d’amour cachés
    Plus forts que les aveux des amoureux

    Tu n’peux pas comparer l’Amérique
    Aux yeux d’une femme
    Tu n’peux pas préférer la musique
    Aux yeux d’une femme (Ah Ah)
    Les chagrins d’amour, il n’faut même pas y penser
    Pour n’pas voir pleurer les yeux d’une femme
    Pour n’pas voir pleurer les yeux d’une femme
    Pour n’pas voir pleurer les yeux d’une femme (Pour n’pas voir pleurer les yeux d’une femme)