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Automan – Episode pilote – 1983

    Automan est une série télévisée américaine en 1 pilote de 90 minutes et 12 épisodes de 45 minutes, créée par Glen A. Larson et diffusée entre le 15 décembre 1983 et le 2 avril 1984 sur le réseau ABC.

    En France, la série a été diffusée pour la première fois à partir du 25 décembre 1987 sur La Cinq.

    Synopsis

    Cette série d’aventures teintée d’humour discret met en scène Walter Nebicher, jeune officier de la police de Los Angeles et génie de l’informatique timide et un peu craintif, qui vient de mettre au point un programme informatique d’intelligence artificielle de lutte contre le crime qui génère un hologramme baptisé « Automan » capable de quitter la nuit le monde informatique pour combattre le crime. Dans le monde réel, Automan prend l’apparence d’un agent du gouvernement du nom d’« Otto J. Mann ».

    Automan doit tout d’abord aider la police de Los Angeles à résoudre une mystérieuse affaire de disparition de plusieurs personnes appartenant à de grands organismes. Grâce à l’informatique dont est doté Automan, les enquêteurs découvrent rapidement que les ravisseurs opèrent sous le couvert d’une société écran tout à fait respectable offrant des services de sécurité de toutes natures. En fait, les responsables de cette organisation kidnappent les jeunes scientifiques et les font travailler contre leur gré dans un luxueux camp de prisonniers installé dans les Alpes suisses.

    Les deux hommes, dont le contraste dans la série est une source constante d’effets comiques, vont se livrer ensemble à des opérations de lutte du bien contre le mal. Ils sont aidés dans cette tâche par une voiture virtuelle (et susceptible donc d’accélérations spectaculaires) ainsi que d’un élément électronique nommé le curseur qui permet entre autres de matérialiser à la demande les objets nécessaires à l’action (par exemple un matelas qui sauve la vie d’un « méchant » tombé à terre depuis une fenêtre).

    Dans le générique de fin, le curseur est indiqué comme « jouant son propre rôle ». La série n’est pas dépourvue de second degré.