Aller au contenu

Arnold Turboust & Zabou – Adelaïde – 1986

    Paroles

    Adélaïde vous êtes belle
    Mes yeux sont fixés sur la mouche
    Adélaïde qui m’ensorcelle
    Mouche si près de la bouche
    De temps en temps je vous observe
    Quand votre singe vous promenez
    Votre mouchoir je désespère
    Un jour de le voir tomber

    Cher ami vous n’y pensez pas
    Tout ce que vous me dites là
    Je n’y crois, je n’y crois, je n’y crois pas
    Si vous vouliez seulement m’écouter
    Si vous poussiez jusqu’à me regarder
    Tout ce que je ferais pour vous Adélaïde

    Ces jours derniers j’ai cru remarquer
    Vos yeux sur moi parfois se posent
    Et d’espérer je n’puis m’empêcher
    De parler ou pas je l’ose
    Mademoiselle Adélaïde
    De vous épris oui je le suis
    Je voudrais vous servir de guide
    Tout au long de ma vie

    Cher ami vous vous méprenez
    Vous allez m’indisposer
    Vous allez, vous allez, m’agacer

    Accepteriez-vous de danser
    Avec moi ce soir
    Quelques menuets

    Vous feriez mieux de me laisser
    Vous allez finir par me lasser
    Vous m’agacez, m’indisposez
    Jeune freluquet!

    Si vous aviez seulement pu m’écouter
    Si j’avais pu de vous me faire aimer
    Tout ce que j’aurais fait pour vous Adélaïde