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Noir Désir – Tostaky (le continent) – 1992

    Paroles

    Nous survolons des villes
    Des autoroutes en friche
    Diagonales perdues
    Et des droites au hasard
    Des femmes sans visage
    À l’atterrissage
    Soyons désinvoltes
    N’ayons l’air de rien

    Para la queja mexica
    Este sueño de america
    Celebremos la aluna
    De siempre, ahorita

    Et les branleurs traînent
    Dans la rue
    Et ils envoient ça aux étoiles
    Perdues
    Combien à attendre
    Encore combien à attendre
    Combien à attendre
    Encore combien à attendre
    Combien à attendre
    Encore combien à attendre
    Combien à attendre
    Tostaky

    Le fond du continent
    L’or du nouveau monde
    Pyramides jetables
    Hommes d’affaires impeccables
    Quand la pluie de sagesse
    Pourrit sur les trottoirs
    Notre mère la Terre
    Étonnez-moi

    Para la queja mexica
    Este sueño de america
    Celebremos la aluna
    De siempre, ahorita

    Pendre les fantômes
    Cortez
    Et pourrir à l’ombre
    Cortez
    De l’Amérique vendue
    À des gyrophares crûs
    Pour des nouveaux faisceaux
    Pour des nouveaux soleils
    Pour des nouveaux rayons
    Pour des nouveaux soleils

    Aqui para nosotros
    Aqui para nosotros
    Aqui para nosotros
    Aqui para nosotros
    Aqui para nosotros
    Aqui para nosotros
    Aqui para nosotros
    Aqui para nosotros
    Aqui para nosotros
    Aqui para nosotros
    Aqui para nosotros
    Tostaky

    Bien reçu
    Tous les messages
    Ils disent qu’ils ont compris
    Qu’il n’y a plus le choix
    Que l’esprit qui souffle
    Guidera leurs pas
    Qu’arrivent les derniers temps où
    Nous pourrons parler
    Alors soyons désinvoltes
    N’ayons l’air de rien
    Soyons désinvoltes
    N’ayons l’air de rien
    Allez, soyons désinvoltes
    N’ayons l’air de rien
    Soyons désinvoltes
    N’ayons l’air de rien