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Nicolas Peyrac – So far away from L.A. – 1975

    Paroles

    Quelques lueurs d’aéroport,
    L’étrange fille aux cheveux d’or,
    Dans ma mémoire, traîne encore.
    C’est l’hiver à San Francisco
    Mais il ne tombe jamais d’eau
    Aux confins du Colorado

    Et le Golden Gate s’endort
    Sur Alcatraz où traîne encore
    Des sanglots couleur de prison.
    Monsieur Caryl Chessman est mort
    Mais le doute subsiste encore.
    Avait-il raison ou bien tort?

    So far away from L.A.,
    So far ago from Frisco.
    I’m no one but a shadow,
    But a shadow…
    A shadow.

    Le Queen Mary est un hôtel
    Au large de Beverley Hills
    Et les collines se souviennent
    Des fastes de la dynastie
    Qui, de Garbo jusqu’à Bogie,
    Faisaient résonner ses folies.

    So far away from L.A.,
    So far ago from Frisco.
    I’m no one but a shadow,
    But a shadow…
    A shadow.

    So far away from L.A.,
    So far ago from Frisco.
    I’m no one but a shadow,
    But a shadow…
    A shadow.

    Pauvre Madame Polanski:
    D’un seul coup on t’a pris deux vies
    Mais qui donc s’en souvient ici?
    C’est l’hiver à San Francisco.
    Je ne trouverai le repos
    Qu’aux confins du Colorado.

    So far away from L.A.,
    So far ago from Frisco.
    I’m no one but a shadow,
    But a shadow…
    A shadow.

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