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Michel Sardou – Dix ans plus tôt – 1977

    Paroles

    S’il y a des mots
    Qui t’ont fait pleurer, mon ange,
    Et d’autres qui t’ont révoltée,
    S’il y a des idées quelquefois qui dérangent,
    J’en ai qui font danser.

    Te souviens tu d’un slow,
    Dix ans plus tôt,
    Déjà dix ans.
    Tu voulais m’épouser.
    Quelle drôle d’idée.
    Tu n’avais pas quinze ans.

    Tu voulais faire l’amour.
    Comment fait-on l’amour?
    J’n’étais pas un géant.
    J’étais plutôt gêné.
    Quelle drôle d’idée!
    Danser c’est suffisant.

    Je n’sais plus comment finissait la chanson.
    J’ignorais qu’elle avait un nom.
    C’était la chanson du bonheur
    D’un vieil amant compositeur.

    J’aime bien les histoires
    Qui me font boire
    Sans désespoir,
    Les mélodies carrées
    Qui font danser,
    Qui font aimer la vie.
    J’aime aussi, sur le tard,
    Un piano bar
    Qui meurt d’ennui,
    Tous les disques oubliés
    Qui font penser
    Qu’on a déjà vieilli.

    Je n’sais plus comment finissait la chanson.
    J’ignorais qu’elle avait un nom.
    C’était la chanson du bonheur
    D’un vieil amant compositeur.

    Te souviens tu d’un slow,
    Dix ans plus tôt,
    Déjà dix ans
    Tu voulais m’épouser.
    Quelle drôle d’idée.
    Tu n’avais pas quinze ans.

    Tu voulais faire l’amour.
    Comment fait-on l’amour?
    J’n’étais pas un géant.
    J’étais plutôt gêné.
    Quelle drôle d’idée!
    Danser c’est suffisant.

    Te souviens tu d’un slow,
    Dix ans plus tôt,
    Déjà dix ans
    Tu voulais m’épouser.
    Quelle drôle d’idée.
    Tu n’avais pas quinze ans.

    Tu voulais faire l’amour.
    Comment fait-on l’amour?
    J’n’étais pas un géant.
    J’étais plutôt gêné.
    Quelle drôle d’idée!
    Danser c’est suffisant.

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