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Jeanne Mas – J’accuse – 1989

    Paroles

    C’est une puissance invisible
    Le choc des mots n’existe pas
    Lorsque la force joue la violence et l’égoïsme
    Lorsque rien n’est plus fort que ta voix
    C’est l’insolence qui prend le rythme
    Ma liberté sous leurs doigts

    Sur des colonnes on me résume
    Elle était seule, ils étaient trois
    Pourquoi ces gens qui me harponnent et qui me jugent
    Ce pouvoir qui limite mes droits?
    Serre dans les yeux ta solitude
    Seule toute la haine est ma loi

    J’accuse les rôles du scénario trop faciles
    D’humilier des peaux sensibles
    J’accuse les tireurs de poison qui s’agitent
    Au fond d’un dégoût tragique

    Y a pas d’arme qui venge le mal
    Qui s’acharne au creux d’mes larmes

    Ils ont dépouillé mes blessures
    Avec des regards indiscrets
    Comme assoiffés par l’émotion qu’elles leur procurent
    Comme un jouet qu’on voudrait bien casser
    C’est leur violence qui prend la suite
    Comment pouvoir pardonner

    J’accuse les rôles du scénario trop faciles
    D’humilier des peaux sensibles
    J’accuse les tireurs de poison qui s’agitent
    Au fond d’un dégoût tragique

    Y a pas d’arme qui venge le mal
    Qui s’acharne au creux d’mes larmes

    Cogne, cogne bien plus fort
    Défends ta déchirure
    Cogne, cogne bien plus fort
    Réponds à leur insulte

    J’accuse les rôles du scénario trop faciles
    D’humilier des peaux sensibles
    J’accuse les tireurs de poison qui s’agitent
    Au fond d’un dégoût tragique

    J’accuse les rôles du scénario trop faciles
    D’humilier des peaux sensibles
    J’accuse les tireurs de poison qui s’agitent
    Au fond d’un dégoût tragique

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