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Herbert Léonard – Quand tu m’aimes – 1987

    Paroles

    Fébrilement je t’attends
    Je suis en manque de toi
    Je me languis de ton parfum
    Sentir ta bouche effrontée
    Épouser tous mes rêves
    Dans un délicieux va et vient
    Retenir nos élans
    Pour que la nuit
    N’en finisse pas
    Tout oublier
    Sous mes doigts impatients
    Trouver ta voie sacrée

    Je n’ai qu’un pays
    Celui de ton corps
    Je n’ai qu’un peché
    Ton triangle d’or
    Je découvre en toi
    Toutes les audaces
    Quand tu m’aimes

    Lorsque tu dénoues
    Tes jupons soyeux
    Moi je m’engloutis
    Au fond de tes yeux
    Ta gorge étincelante
    Tes buissons secrets
    Quand tu m’aimes

    Je ne pense plus qu’à me perdre
    Au plus profond de toi
    Et ta peau manque à ma peau
    J’ai perdu le sommeil
    Et je n’arrive plus à travailler
    Je n’en peux plus
    Je paie le prix que paie
    Le vice à la vertu

    Je n’ai qu’un pays
    Celui de ton corps
    Je n’ai qu’un péché
    Ton triangle d’or
    Je découvre en toi
    Toutes les audaces
    Quand tu m’aimes

    Je souscris à tous
    Ces plaisirs sublimes
    Et soudain tu trouves
    La caresse ultime
    Qui arrache en moi
    Un cri de victoire
    Quand tu m’aimes

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