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Francis Cabrel – L’encre de tes yeux – 1980

    Paroles

    Puisqu’on ne vivra jamais tous les deux
    Puisqu’on est fou, puisqu’on est seul
    Puisqu’ils sont si nombreux
    Même la morale parle pour eux
    J’aimerais quand même te dire
    Tout ce que j’ai pu écrire
    Je l’ai puisé à l’encre de tes yeux

    Je n’avais pas vu que tu portais des chaînes
    À trop vouloir te regarder
    J’en oubliais les miennes
    On rêvait de Venise et de liberté
    J’aimerais quand même te dire
    Tout ce que j’ai pu écrire
    C’est ton sourire qui me l’a dicté

    Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
    Tu viendras toujours du côté où le soleil se lève
    Et si malgré ça j’arrive à t’oublier
    J’aimerais quand même te dire
    Tout ce que j’ai pu écrire
    Aura longtemps le parfum des regrets

    Mais puisqu’on ne vivra jamais tous les deux
    Puisqu’on est fou, puisqu’on est seul
    Puisqu’ils sont si nombreux
    Même la morale parle pour eux
    J’aimerais quand même te dire
    Tout ce que j’ai pu écrire
    Je l’ai puisé à l’encre de tes yeux

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