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Art Mengo – Les parfums de sa vie (je l’ai tant aimée) – 1988

    Paroles

    C’est vrai que dans ses draps fourbus
    Jusqu’aux aurores à l’inconnu
    Elle a roulé à demi-nue
    Son corps de bras en bras tendus

    C’est vrai qu’au vent de ses cheveux
    A ce parfum de safran bleu
    Elle a brûlé à petit feu
    Sa liberté manière de jeu
    Elle a dans son regard
    Un reste d’étendard
    L’ombre d’un corbillard
    Que poussent des pillards

    Moi je l’ai tant aimée
    Tant aimée, tant aimée

    Que mon corps est pétri
    Des parfums de sa vie
    Moi je l’ai adorée
    Adorée
    Que mon corps est pétri
    Des parfums de sa vie

    C’est vrai qu’au bord de ses écarts
    Ses yeux froissés sont en retard
    Quand sonne l’heure de leur départ
    Ou d’un sourire ou d’un regard
    Elle a le corps ouvert aux rives des adultères
    A la caresse amer des amours passagères

    Moi je l’ai tant aimée
    Tant aimée, tant aimée
    Que mon corps est pétri
    Des parfums de sa vie

    Moi je l’ai adorée
    Adorée
    Que mon corps est pétri
    Des parfums de sa vie
    C’est vrai qu’elle a donné souvent
    Des nuits, des rêves éblouissants

    Moi je l’ai tant aimée
    Tant aimée, tant aimée
    Que mon corps est pétri
    Des parfums de sa vie
    Moi je l’ai adorée
    Adorée
    Que mon corps est pétri
    Des parfums de sa vie

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