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Alain Bashung – La nuit je mens (Live 2004) – 1998

    Paroles

    On m’a vu dans le Vercors
    Sauter à l’élastique
    Voleur d’amphores
    Au fond des criques
    J’ai fait la cour à des murènes
    J’ai fait l’amour, j’ai fait le mort
    T’étais pas née

    À la station balnéaire
    Tu t’es pas fait prier
    J’étais gant de crin, geyser
    Pour un peu je trempais
    Histoire d’eau

    La nuit je mens
    Je prends des trains à travers la plaine
    La nuit je mens
    Je m’en lave les mains
    J’ai dans les bottes des montagnes de questions
    Où subsiste encore ton écho
    Où subsiste encore ton écho

    J’ai fait la saison
    Dans cette boîte crânienne
    Tes pensées
    Je les faisais miennes
    T’accaparer seulement t’accaparer
    D’estrade en estrade
    J’ai fait danser tant de malentendus
    Des kilomètres de vie en rose

    Un jour au cirque
    Un autre à chercher à te plaire
    Dresseur de loulous
    Dynamiteur d’aqueducs

    La nuit je mens
    Je prends des trains à travers la plaine
    La nuit je mens
    Effrontément
    J’ai dans les bottes des montagnes de questions
    Où subsiste encore ton écho
    Où subsiste encore ton écho

    On m’a vu dans le Vercors
    Sauter à l’élastique
    Voleur d’amphores
    Au fond des criques
    J’ai fait la cour à des murènes
    J’ai fait l’amour j’ai fait le mort
    T’étais pas née

    La nuit je mens
    Je prends des trains à travers la plaine
    La nuit je mens
    Je m’en lave les mains
    J’ai dans les bottes des montagnes de questions
    Où subsiste encore ton écho
    Où subsiste encore ton écho

    La nuit je mens
    Je prends des trains à travers la plaine
    La nuit je mens
    Je m’en lave les mains
    J’ai dans les bottes des montagnes de questions
    Où subsiste encore ton écho

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